Pendant de nombreuses années, un cheval appelé Jim a traîné un chariot à lait dans les rues de Saint-Louis, dans le Missouri, aux États-Unis. En 1898, elle a trouvé un travail plus tranquille. Comme d’autres chevaux héros aux États-Unis, Jim était périodiquement injecté de toxine diphtérique.
À l’époque, la diphtérie était une ma ladie mo rtelle pour l’homme. Le tu eur le plus fréquent des petits âgés de 2 à 14 ans. C’était une ma ladie que la plupart des chevaux toléraient assez bien.
Après l’inj ection de toxines diphtériques à des chevaux, dont celui de Jim. Leur organisme a produit des anticorps. Puis un sérum a é té produit à partir du sang de cheval, qui, une fois injecté, a secouru la vie des ma lades de la diphtérie.
En trois ans, Jim a produit plus de 30 litres de sérum et a secouru un nombre incalculable de vies. En 1901, il a contracté le tétanos et a dû être endormi. Aussi tri ste que cela puisse paraître.
13 petits sont mo rts du tétanos parce qu’ils l’ont contracté à partir du sang de Jim. Il avait é té vendu sans avoir é té testé et vérifié correctement.
La tra gédie causée par le sang infecté de Jim a été la principale raison de l’adoption du Biologics Control Act en 1902, qui a donné au gouvernement américain le droit d’autoriser les vac cins.
Les antitoxines et tous les produits biologiques, faisant ainsi passer la mé decine à un stade de développement supérieur.
Les choses que nous tenons pour acquises, les réglementations gouvernementales, les inspections de laboratoire, les observations de scientifiques qualifiés sur le processus de fabrication.
Même les dates d’expiration sur les étiquettes sont toutes le résultat de la loi sur le contrôle des produits biologiques.
Même un siècle plus tard, l’histoire de Jim joue un rôle très important pour la santé publique américaine. Le manuel américain des essais cliniques, publié en 2011 par le National Institutes of Health Research, mentionne un cheval nommé Jim dans le titre des leçons.